52 façons d’utiliser Chauss’in : en entreprise de mécanique générale …
Mécanique générale.
La mécanique générale est un véritable art.
Art au travers duquel, des femmes et des hommes de savoir-faire, façonnent de la matière afin d’en faire des engrenages, des axes, des arbres de transmission, des cônes, des filières etc.
Et ce dans de nombreuses matières, telles que l’acier, l’inox, le cuivre, le bronze, le laiton, l’aluminium et bien d’autres, que ce soit par fraisage, tournage, mortaisage etc.
La problématique.
Bref, dans ces ateliers les huiles de coupe, côtoient les produits de refroidissement et les copeaux de toutes les matières premières utilisées.
Parfois ils se mélangent et se retrouvent collés, enfoncés dans les semelles des chaussures de protection des personnes qui y travaillent.
L’objectif du chef d’entreprise.
Ainsi, un chef d’entreprise a adopté notre sur-chaussure, Chauss’in.
L’objectif, permettre aux personnes travaillant dans les ateliers, de venir dans les bureaux, sans quitter leurs chaussures de travail et sans salir les sols des bureaux.
Les surchaussures sont placées à l’entrée des bureaux, prêtes à être enfilées, on les quitte en repartant.
Au final.
Les huiles, les saletés, les copeaux restent à l’intérieur des Chauss’in, et ne se retrouvent plus sur les sols des bureaux.
Cerise sur la gâteau, le lien social entre les personnes des ateliers et celles travaillant dans les bureaux s’en est trouvé largement amélioré.
En effet, les personnes des ateliers n’ont plus de gène à aller dans les bureaux, tandis que les personnes des bureaux ne craignent plus de retrouver des copeaux enfoncés dans leurs chaussures de ville.
Il en faut donc parfois peu pour tisser à nouveau le lien social dans l’entreprise. Mais aussi de solutionner un problème simple.
Cet usage de Chauss’in et plus particulièrement de Chauss’in évolution, n’était pas à l’origine évidente. Pourtant en voyant notre sur-chaussure, ce chef d’entreprise a aussitôt évalué son intérêt afin de faire face à sa problématique.