Anniversaire Chauss’in …

Chauss'in : pour rentrer sans salir et sortir sans se salir

Anniversaire Chauss’in …

L'anniversaire Chauss'in qui fête les sept années de la naissance de son premier prototype

Avril 2012

Avril 2019 c’est en quelque sorte l’anniversaire de Chauss’in.

En effet, c’est en Avril 2012 que les tous premiers prototypes de Chauss’in ont vu le jour.

Réalisés tout d’abord en carton, il y eut ensuite des prototypes en toile imprégnée.

La taille M, a vu le jour en premier, puis le L et le S. Dans la version Chauss’in originale, les tailles XS et XL sont apparues bien plus tard.

1973

Pourtant l’idée de Chauss’in est née dans l’esprit de Jean-Michel Bellon, en 1973. Cavalier amateur, il a imaginé cette sur-chaussure afin de prévenir les salissures générées par les bottes de cheval que l’on ne pouvait pas toujours quitter, lorsqu’on se rendait dans un lieux donné.

Certes il existait déjà un produit proposé en Suisse, dont l’existence ne  lui apparaîtra qu’en 1975. Mais cette grande mule, non fermée à l’arrière, ne répond pas totalement aux contraintes. De plus, sa matière, type feutre, est un nid à microbes et n’est pas du tout facile à laver.

L’idée est restée en suspens durant des années car la vie en a décidé autrement, jusqu’au jour où …

Automne 2011

Un concours de circonstances. Un besoin à nouveau révélé. Une rencontre inattendue. Tout ceci conjugué pour que cette vieille idée refasse surface près de quarante années plus tard.

Pour la petite histoire, c’est en rentrant de l’extérieur, pour quelques instants, les chaussures de marche pleines de terre aux pieds, que l’idée est revenue frapper à la porte de l’esprit de Jean-Michel.

Pas le temps de délacer les chaussures pour les quitter. L’agacement de rentrer dans la maison en se disant que, quelques minutes plus tard, il faudra passer un bon coup d’aspirateur. Mais tant pis. Il le fait. Et laisse des traces de terre de partout. Énervant.

L’idée est de retour, mais de là à la concrétiser, il y a tout un cheminement intellectuel inattendu.

Ce cheminement se fait sur cette fin d’année 2011. Car le besoin de rentrer sans se déchausser, pour quelques instants seulement, bien entendu, se représente. Et c’est presque quotidien quand on vit à la campagne.

Le souvenir de cette même situation, bottes d’équitation aux pieds, alimente la réflexion.

Début d’année 2012

À noël il y a eu de la neige. Jean-Michel a eu besoin d’aller dehors une minute. Quelle poisse de devoir changer de chaussures pour sortir si peu de temps.

Les besoins de croisent. Rentrer sans salir et sortir sans salir ses chaussures. Un point commun : ne pas se déchausser.

Dès lors les choses avancent mentalement. L’idée du produit qui répond à ces deux problématiques. Une sur-chaussure. Oui mais comment ? Quelle matière ? Comment la réaliser ?

La première belle rencontre

Avant cette première belle rencontre il y en eut une qui ne s’est pas très bien passée. Pensant que la sur-chaussure qu’il a imaginé serait en toile, Jean-Michel a pris rendrez-vous avec les dirigeants d’un atelier textile. Il explique qu’il a un projet. Que ce projet fera l’objet à terme de protections industrielles. Il propose donc aux dirigeants de cet atelier de signer un accord de confidentialité. Ceux-ci refusent. Sans réels argument. Fin de l’histoire.

La véritable première rencontre importante dans l’histoire de Chauss’in fut celle avec Lionel Spalla. Pas totalement le fruit du hasard, mais presque.

De passage à Ambert, ville de la célèbre Fourme, et celle qui est la plus proche du domicile de Jean-Michel, ses pas le font passer devant la devanture de l’atelier de Lionel. Très déçu par l’expérience antérieure avec les dirigeants de l’atelier textile, l’idée de Chauss’in est en stand-by. Il hésite à rentrer.

Mais face à la devanture de l’atelier de Lionel, c’est le déclic.

Mince … c’est fermé. Il frappe. Pas de réponse. Il s’apprête à partir quand on l’interpelle quelques étages au-dessus de l’atelier. C’est Lionel. Il descend et le courant passe aussitôt très bien. Lionel accepte l’idée de l’accord de confidentialité. Les deux hommes se revoient quelques jours plus tard.

En nous revoilà en Avril 2012 où Lionel, fort des prototypes en carton réalisés par Jean-Michel, propose la toute première Chauss’in. Certes, on n’en est pas tout à fait à ce que Jean-Michel veut. Mais l’histoire est en marche.

Dès lors les choses vont aller assez vite car Lionel est un homme de l’art. Il maîtrise parfaitement son sujet et comme le courant passe bien entre Jean-Michel et lui, les prototypes s’enchainent. Petit à petit on arrive à la version définitive de Chauss’in originale.

Télévisions & médias

C’est grâce à Qui Plus Est, agence de communication de Clermont-Ferrand, que les choses vont avancer plus rapidement encore. Entre temps Lionel est parti vivre en Tunisie mais le pacte a été maintenu et même si c’est beaucoup plus compliqué, Chauss’in avance.

L’offre est forte de cinq tailles et de six couleurs. Elles sont désormais fabriquées dans un atelier tunisien. Jean-Michel l’a visité afin de s’assurer que son éthique est bien respectée dans cette usine.

Le produit est nouveau et l’excellent travail de Qui Plus Est offre à Chauss’in une couverture médiatique inespérée. France 2, France 5, M6 et de nombreux médias papier de web parlent de Chauss’in … les ventes explosent.

Patatra

Malheureusement tout n’est pas rose. Un problème familial du dirigeant de l’atelier de confection tunisien fait office de grain de sable dans le rouage Chauss’in.

Soudain c’est le désastre. Passons sur cet épisode malheureux qui a failli sonner le glas de notre sur-chaussure.

Chauss’in est à un doigt de disparaitre. Jean-Michel comprend que, malgré les liens étroits qui le lient à Lionel, la piste tunisienne est fichue. Il faut tout arrêter ou rebondir.

C’est le passé de petit industriel de Jean-Michel qui va lui permettre ce rebond.

Mai 2015

Jean-Michel se rend à Lyon sur un salon dédié à la sous-traitance industrielle. Il est persuadé que c’est la bonne voie pour rebondir. Sur place il rencontre plusieurs entreprises car l’idée du Made In France lui tient à coeur.

La désillusion

À la sortie du salon Jean-Michel est confiant. Il a pris une dizaine de contacts. C’est certain que sa sur-chaussure va renaître de ses cendres.

A l’heure où nous écrivons ces quelques mots, sur les dix entreprises rencontrées sur ce salon, seules deux ont apporté des réponses. Cela n’a pas pu se faire avec elles. Quant aux huit autres … on attend toujours leur retour !

L’autre belle rencontre

Le hasard fait souvent très bien les choses. Sans rentrer dans le détail, par le hasard d’un échange téléphonique avec des amis italiens à la tête d’un bureau d’étude, au gré d’une conversation le contact est pris avec Alessandro Ciccioni, patron d’une petite entreprise italienne, PMI.

Quelques semaines seulement après cette conversation téléphonique avec ses amis italiens, Jean-Michel est près de Milan, et a rendez-vous avec Alesandro.

De cette rencontre naîtra Chauss’in évolution, fer de lance de l’offre Chauss’in.

La troisième belle rencontre

Celle-ci est également le fruit de la chance. C’est celle avec Yter Sahin. Yter a un petit atelier de confection près de Montbrison, dans la Loire. C’est à moins d’une heure d’Ambert. Une relation de la CCI d’Ambert parle à Jean-Michel de l’existence de cet atelier. Jean-Michel rencontre Yter car il veut étendre son offre à d’autres produits mais cette fois Made In France.

De la rencontre entre ces deux personnes naîtront les produits Chauss’in Open et Chauss’ki.

SAHIN SARL participe également à la fabrication de Chauss’mousse.

Fêtez l’anniversaire Chauss’in

A l’occasion de cet anniversaire nous vous proposons de le fêter avec nous.

Rendez-vous sur le site Chauss’in où vous trouverez notre adresse email. Envoyez-nous un message et nous vous adresserons un code promotionnel qui vous permettra d’acheter tout produit de l’offre Chauss’in, à un prix anniversaire.

Cette offre est limitée. Elle est valable du 10 Avril 2019 au 9 Mai 2019.

À vos claviers …

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